A you and me house
Ce soir, j’ai le cœur qui déborde.
Si je l’avais vu, je crois que j’aurais craqué.
Je l’aurais embrassé.
En appuyant très fort mes lèvres sur les siennes.
Je n’aime pas les baisers très courts, les baisers du bout des lèvres, les baisers sans âme.
J’aime les baisers appuyés.
Ceux qui te remuent de l’intérieur.
Ceux qui vont te chercher, loin.
Je ressens exactement ce que décris le personnage de Zoé Félix dans Le Cœur des Hommes.
Tout mon être le réclame.
C’est peut-être les hormones. Car je commence à connaître mon corps et ses diverses réactions au fil des jours.
C’est peut-être le fait que je sois si proche de lui.
Juste quelques centaines de mètres.
J’ai envie de lui dire. Que je l’aime que je l’aime que je l’aime, que je suis folle de lui, que j’ai envie qu’il soit heureux, que j’ai envie qu’il me serre dans ses grands bras, que je voudrais respirer son odeur. Que je ne suis pas pressée, mais que je l’aime.
Que je suis compliquée, chamboulée, mais que la seule chose qui est simple et certaine dans ma vie, c’est bien cet amour que je lui porte.
Je ne sais pas de quoi mon corps serait capable, je ne sais pas s’il m’est vraiment possible d’avoir du plaisir avec un homme, mais tant que je n’aurai pas essayé, je ne saurai pas.
Je l’aime. J’ai une grande envie de lui, une envie générale.
D’être près de lui. Tout près de lui.
Je voudrais juste de la tendresse.
Je regarde des photos de lui et j’ai envie de pleurer de joie tellement il est beau, tellement il me plait.
Plus rien ne m’atteint.
Je ne pense pas à Elle. Je ne pense pas à cette phrase de Nadège. Je ne pense pas à tous les autres. Je ne pense pas à Monsieur G. Je ne pense pas à la semaine prochaine. Je ne pense pas à ce fond de stress qui m’habite depuis quelques jours, et dont la présence est normale, cela n’était que la première semaine. Je ne pense plus qu’à lui.
Il y a les autres pensées qui gravitent autour de moi mais c’est comme s’il y avait un bouclier imaginaire dont il est le composant principal. Un bouclier qui fait qu’elles ne m’atteignent pas plus que ça. Je sais qu’elles sont là mais je les regarde, presque avec indifférence.
J’ai envie de lui dire que je l’aime.
Mais c’est la nuit, et Russ m’avait dit de ne pas trop m’affoler en déclarations la nuit.
Qu’il valait mieux me déclarer le jour.
Je crève d’envie de l’appeler, d’entendre sa voix, de me sentir au chaud dans ses bras.
D’embrasser ses grandes lèvres. De me piquer la peau sur ses joues. De me laisser bercer par l’odeur de biscuit chaud qu’il dégage. De mettre mes doigts dans ses petits cheveux rebelles.
Il est grand, il est fort, il est brisé à l’intérieur, il a un sourire renversant, il s’attache un peu à moi, il m’appelle sa reine, il s’intéresse un peu à moi, à ce que je fais, il me dit que j’écris bien.
Il est exactement le Prince Charmant que je voulais.
Est-ce que c’est un Prince Charmant que j’attendais ?
Est-ce que mes histoires de princesses ne vont pas me hanter toute ma vie ?
Je voudrais une vie normale.
Personne ne pourra m’aimer comme Elle m’a aimée.
Jamais il ne faudra que je m’attende à ce qu’un homme réagisse comme Elle le faisait.
Elle a mis la barre trop haut.
Et qui peut m’aimer mieux, comprendre mes états d’âmes et mes désirs mieux qu’une femme ?
Je voudrais une vie normale.
Je voudrais être heureuse.
Elle m’avait dit que j’aurai une belle vie.
Et je La crois.
Ce n’est pas parce qu’elle est compliquée qu’elle n’est pas belle.
J’écoute le plus beau slow de mon monde.
Avant c’était Unchained Melody mais, question de souvenirs, je ne peux plus écouter cette chanson.
Maintenant c’est You are not alone de Michael Jackson.
Elle dure presque six minutes.
À la fois une éternité et une seconde.
Enlacés, l’un contre l’autre, le temps n’est plus le même.
Cela me rend folle de savoir qu’il est seul là tout de suite.
Chez lui, tout seul.
Et moi, toute seule.
Même si la maison est habitée.
Là je suis comme seule.
Je ne pourrais pas le rejoindre s’il le voulait.
Je n’ai quand même pas (et n’ai jamais eu) la liberté de sortir comme ça, à n’importe quelle heure.
Pense-t-il à moi ?
J’aimerais tant savoir ce qui se trame dans son esprit.
Il doit bien avoir compris quelles sont mes intentions.
Mais alors pour quelle raison entre-t-il dans mon jeu ?
Une correspondance si rapprochée. Des nouvelles tous les jours.
Ses « ma très chère reine ».
Je ne peux pas comprendre comment je peux plaire à quelqu’un.
Mais quand ça arrive, on ne cherche pas vraiment à comprendre.
On prend ce qui vient et ça nous suffit.
Après tout, l’amour ne s’explique pas.
Mais est-ce que je lui plais ?
Peut-être que je l’interpelle.
Qu’il n’est pas indifférent à moi.
Qu’il ne me trouve pas vraiment belle.
Mais que j’ai un beau sourire, et des étoiles dans les yeux quand il me regarde.
Et qu’on se comprend, qu’on s’entraide.
Et que je l’aime.
Que je lui fais du bien.
C’est la seule chose vraie parmi toutes ces hypothèses, puisqu’il me l’a dit.
Jeudi soir alors que je sautais du pied gauche au pied droit, du pied droit au pied gauche, dans ce trou à rat dans lequel la musique était trop forte, je me disais qu’en fait j’étais incapable de m’éclater.
Je ne vis que pour l’amour.
Et maintenant que je peux consulter ma boîte mail de sous ma couette, il est encore plus difficile de me lever le matin.
Alors heureusement, il y a Garfu.
Et il y a la réalité aussi.
On ne vit pas d’amour.
Du moins pas que.
Et en allant à l’IUT, je vais acquérir une formation qui me permettra peut-être de vivre de mon écriture. Ou de mes créations.
Mais même dans la réalité, j’intègre mes rêves.
Je sais que la vie n’est pas facile, que rien ne se passera comme je voudrais que ça se passe, que le monde est bourré d’ennemis prêts à me faire du mal.
Mais j’ai confiance quand même.
Et j’ai l’intention de réaliser mes rêves.
Même si la réalité n’est pas toujours belle à voir.
Cela me rappelle ce film d’Almodovar où l’assistante du patron de Léo dit que « La realidad debería ser prohibida » (La réalité devrait être interdite).
Dans les boîtes de nuit il n’y a aucun amour.
Et des poufs aux talons aiguilles vous écrasent les doigts de pieds, et personne ne peut vous entendre crier.
Alors par égard pour mes doigts de pieds, et pour mon oreille gauche que j’ai bien failli perdre, je ne retournerai pas en boîte.
Je n’ai pas compris quel bonheur pouvaient trouver les gens qui y vont.
Je me repasse la chanson de Zazie.
Alors on trime toute la semaine
En attendant samedi
Quand on retrouvera
Nos rêves partis
On sort de notre boîte
Pour rentrer dans une autre
Et comme ça la boucle est bouclée
On n'en parle plus
Où sont les rêves dans une boîte de nuit ?
Je ne comprends pas.
Mais je dois dire que ça ne m’empêche pas de dormir.
Bien que j’aurais préféré être dans mon lit plutôt que d’être là-bas.
Alors je retiens les « Groooosse puuuuuute » de Damien, qui valent presque la merveilleuse chanson du clodo de l’autre jour.
Et je pense à lui.
Parce que c’est avec lui que j’ai envie de danser.
Avec lui seul.
Si je l’avais vu, je crois que j’aurais craqué.
Je l’aurais embrassé.
En appuyant très fort mes lèvres sur les siennes.
Je n’aime pas les baisers très courts, les baisers du bout des lèvres, les baisers sans âme.
J’aime les baisers appuyés.
Ceux qui te remuent de l’intérieur.
Ceux qui vont te chercher, loin.
Je ressens exactement ce que décris le personnage de Zoé Félix dans Le Cœur des Hommes.
Tout mon être le réclame.
C’est peut-être les hormones. Car je commence à connaître mon corps et ses diverses réactions au fil des jours.
C’est peut-être le fait que je sois si proche de lui.
Juste quelques centaines de mètres.
J’ai envie de lui dire. Que je l’aime que je l’aime que je l’aime, que je suis folle de lui, que j’ai envie qu’il soit heureux, que j’ai envie qu’il me serre dans ses grands bras, que je voudrais respirer son odeur. Que je ne suis pas pressée, mais que je l’aime.
Que je suis compliquée, chamboulée, mais que la seule chose qui est simple et certaine dans ma vie, c’est bien cet amour que je lui porte.
Je ne sais pas de quoi mon corps serait capable, je ne sais pas s’il m’est vraiment possible d’avoir du plaisir avec un homme, mais tant que je n’aurai pas essayé, je ne saurai pas.
Je l’aime. J’ai une grande envie de lui, une envie générale.
D’être près de lui. Tout près de lui.
Je voudrais juste de la tendresse.
Je regarde des photos de lui et j’ai envie de pleurer de joie tellement il est beau, tellement il me plait.
Plus rien ne m’atteint.
Je ne pense pas à Elle. Je ne pense pas à cette phrase de Nadège. Je ne pense pas à tous les autres. Je ne pense pas à Monsieur G. Je ne pense pas à la semaine prochaine. Je ne pense pas à ce fond de stress qui m’habite depuis quelques jours, et dont la présence est normale, cela n’était que la première semaine. Je ne pense plus qu’à lui.
Il y a les autres pensées qui gravitent autour de moi mais c’est comme s’il y avait un bouclier imaginaire dont il est le composant principal. Un bouclier qui fait qu’elles ne m’atteignent pas plus que ça. Je sais qu’elles sont là mais je les regarde, presque avec indifférence.
J’ai envie de lui dire que je l’aime.
Mais c’est la nuit, et Russ m’avait dit de ne pas trop m’affoler en déclarations la nuit.
Qu’il valait mieux me déclarer le jour.
Je crève d’envie de l’appeler, d’entendre sa voix, de me sentir au chaud dans ses bras.
D’embrasser ses grandes lèvres. De me piquer la peau sur ses joues. De me laisser bercer par l’odeur de biscuit chaud qu’il dégage. De mettre mes doigts dans ses petits cheveux rebelles.
Il est grand, il est fort, il est brisé à l’intérieur, il a un sourire renversant, il s’attache un peu à moi, il m’appelle sa reine, il s’intéresse un peu à moi, à ce que je fais, il me dit que j’écris bien.
Il est exactement le Prince Charmant que je voulais.
Est-ce que c’est un Prince Charmant que j’attendais ?
Est-ce que mes histoires de princesses ne vont pas me hanter toute ma vie ?
Je voudrais une vie normale.
Personne ne pourra m’aimer comme Elle m’a aimée.
Jamais il ne faudra que je m’attende à ce qu’un homme réagisse comme Elle le faisait.
Elle a mis la barre trop haut.
Et qui peut m’aimer mieux, comprendre mes états d’âmes et mes désirs mieux qu’une femme ?
Je voudrais une vie normale.
Je voudrais être heureuse.
Elle m’avait dit que j’aurai une belle vie.
Et je La crois.
Ce n’est pas parce qu’elle est compliquée qu’elle n’est pas belle.
J’écoute le plus beau slow de mon monde.
Avant c’était Unchained Melody mais, question de souvenirs, je ne peux plus écouter cette chanson.
Maintenant c’est You are not alone de Michael Jackson.
Elle dure presque six minutes.
À la fois une éternité et une seconde.
Enlacés, l’un contre l’autre, le temps n’est plus le même.
Cela me rend folle de savoir qu’il est seul là tout de suite.
Chez lui, tout seul.
Et moi, toute seule.
Même si la maison est habitée.
Là je suis comme seule.
Je ne pourrais pas le rejoindre s’il le voulait.
Je n’ai quand même pas (et n’ai jamais eu) la liberté de sortir comme ça, à n’importe quelle heure.
Pense-t-il à moi ?
J’aimerais tant savoir ce qui se trame dans son esprit.
Il doit bien avoir compris quelles sont mes intentions.
Mais alors pour quelle raison entre-t-il dans mon jeu ?
Une correspondance si rapprochée. Des nouvelles tous les jours.
Ses « ma très chère reine ».
Je ne peux pas comprendre comment je peux plaire à quelqu’un.
Mais quand ça arrive, on ne cherche pas vraiment à comprendre.
On prend ce qui vient et ça nous suffit.
Après tout, l’amour ne s’explique pas.
Mais est-ce que je lui plais ?
Peut-être que je l’interpelle.
Qu’il n’est pas indifférent à moi.
Qu’il ne me trouve pas vraiment belle.
Mais que j’ai un beau sourire, et des étoiles dans les yeux quand il me regarde.
Et qu’on se comprend, qu’on s’entraide.
Et que je l’aime.
Que je lui fais du bien.
C’est la seule chose vraie parmi toutes ces hypothèses, puisqu’il me l’a dit.
Jeudi soir alors que je sautais du pied gauche au pied droit, du pied droit au pied gauche, dans ce trou à rat dans lequel la musique était trop forte, je me disais qu’en fait j’étais incapable de m’éclater.
Je ne vis que pour l’amour.
Et maintenant que je peux consulter ma boîte mail de sous ma couette, il est encore plus difficile de me lever le matin.
Alors heureusement, il y a Garfu.
Et il y a la réalité aussi.
On ne vit pas d’amour.
Du moins pas que.
Et en allant à l’IUT, je vais acquérir une formation qui me permettra peut-être de vivre de mon écriture. Ou de mes créations.
Mais même dans la réalité, j’intègre mes rêves.
Je sais que la vie n’est pas facile, que rien ne se passera comme je voudrais que ça se passe, que le monde est bourré d’ennemis prêts à me faire du mal.
Mais j’ai confiance quand même.
Et j’ai l’intention de réaliser mes rêves.
Même si la réalité n’est pas toujours belle à voir.
Cela me rappelle ce film d’Almodovar où l’assistante du patron de Léo dit que « La realidad debería ser prohibida » (La réalité devrait être interdite).
Dans les boîtes de nuit il n’y a aucun amour.
Et des poufs aux talons aiguilles vous écrasent les doigts de pieds, et personne ne peut vous entendre crier.
Alors par égard pour mes doigts de pieds, et pour mon oreille gauche que j’ai bien failli perdre, je ne retournerai pas en boîte.
Je n’ai pas compris quel bonheur pouvaient trouver les gens qui y vont.
Je me repasse la chanson de Zazie.
Alors on trime toute la semaine
En attendant samedi
Quand on retrouvera
Nos rêves partis
On sort de notre boîte
Pour rentrer dans une autre
Et comme ça la boucle est bouclée
On n'en parle plus
Où sont les rêves dans une boîte de nuit ?
Je ne comprends pas.
Mais je dois dire que ça ne m’empêche pas de dormir.
Bien que j’aurais préféré être dans mon lit plutôt que d’être là-bas.
Alors je retiens les « Groooosse puuuuuute » de Damien, qui valent presque la merveilleuse chanson du clodo de l’autre jour.
Et je pense à lui.
Parce que c’est avec lui que j’ai envie de danser.
Avec lui seul.
Ecrit par inconsciente, le Samedi 15 Septembre 2007, 21:10 dans la rubrique Aujourd'hui.
Commentaires :
Re:
C'est fou comme tu lis entre mes lignes.
C'est un don que j'ai toujours admiré.
Tu vois des choses que moi-même je ne vois pas au premier coup d'oeil.
Alors que ces choses me concernent d'abord.
T'es douée ma Roxanne ! :)
Je voudrais tant le réchauffer de mon amour comme tu dis.
J'aimerais tellement le faire.
Mais demain c'est déjà dimanche, et il me faut repartir vers une semaine, loin de lui, une semaine fatigante.
Même si, heureusement, il y a la Wifi et ma boîte mail...
C'est un don que j'ai toujours admiré.
Tu vois des choses que moi-même je ne vois pas au premier coup d'oeil.
Alors que ces choses me concernent d'abord.
T'es douée ma Roxanne ! :)
Je voudrais tant le réchauffer de mon amour comme tu dis.
J'aimerais tellement le faire.
Mais demain c'est déjà dimanche, et il me faut repartir vers une semaine, loin de lui, une semaine fatigante.
Même si, heureusement, il y a la Wifi et ma boîte mail...
Re:
En vérité je vais te dire mon secret ... je ne lis pas entre tes lignes, je te rassure, c'est bien pire, j'écoute les vibrations qui me traversent lorsque je lis ce que tu as écrit, j'écoute ce qu'elles me murmurent à l'oreille...
;-)
;-)
Re:
Oui je suis désolée, en fait je me suis mise dans la chambre de ma soeur et j'arrive à capter le modem de la chambre de mes parents, mais mal.
Je me suis connectée sur msn, j'ai commencé à parler avec un copain et PAF ça a déconnecté.
je pense que la connexion est trop faible.
Je me suis connectée sur msn, j'ai commencé à parler avec un copain et PAF ça a déconnecté.
je pense que la connexion est trop faible.
La manière dont tu parles de cet amour. Me donne envie d'avoir moi aussi un Lui à aimer comme ça.
C'est beau.
C'est beau.
Re:
Je te souhaite de tout coeur d'en trouver un aussi.
ça m'est tombé dessus par hasard, je ne m'y attendais vraiment pas.
Je ne le cherchais pas.
Et c'est encore mieux.
Mes yeux se sont ouverts sur lui.
Alors qu'il était sous mon nez depuis plusieurs années.
Soudain c'est devenu évident.
Je ne sais pas ce que ça donnera, je rêverais que ça mène vers un amour fort, puissant, réciproque.
Mais déjà, je suis contente d'être arrivée là où je suis.
Et de l'aimer comme ça.
ça m'est tombé dessus par hasard, je ne m'y attendais vraiment pas.
Je ne le cherchais pas.
Et c'est encore mieux.
Mes yeux se sont ouverts sur lui.
Alors qu'il était sous mon nez depuis plusieurs années.
Soudain c'est devenu évident.
Je ne sais pas ce que ça donnera, je rêverais que ça mène vers un amour fort, puissant, réciproque.
Mais déjà, je suis contente d'être arrivée là où je suis.
Et de l'aimer comme ça.
Une phrase dans ton article ma interpellée.
suscité mon interet, éveillé mes sens, réveillé mes questions.
Personne ne pourra m’aimer comme Elle m’a aimée.
Jamais il ne faudra que je m’attende à ce qu’un homme réagisse comme Elle le faisait.
Elle a mis la barre trop haut.
Et qui peut m’aimer mieux, comprendre mes états d’âmes et mes désirs mieux qu’une femme ?
C'est mon interrogation permanente du moment. Je SUIS cette question.
Le plaisir avec un homme vaut-il vraiment tout ce que nous offre une femme.
La confiance, la trendresse... et jen passe.
Je ne sais pas.
Sois heureuse avec ton "Lui"
Re:
J'essaye de ne pas trop me faire bouffer par cette question mais elle m'habite, je n'y peux rien.
Elle a mis la barre tellement haut.
Elle m'a tellement aimée, Elle a eu tellement d'attentions envers moi.
Je sais d'avance que jamais je ne retrouverai ça.
Mais l'amour, on le choisit pas vraiment.
Il nous tombe dessus, comme ça.
Je ne sais pas à quoi ressemblerait le nirvana que je pourrais atteindre avec un homme.
Peut-être que ça serait différent, mais peut-être que ce serait aussi bien.
Mais il ne pourra jamais connaître aussi bien mes désirs qu'Elle le faisait.
Elle savait que si Elle me touchait là, je savais que si je La touchais là.
Elle savait qu'en me disant ces mots là.
Elle était capable de parcourir la ville et de courir après le temps pour me voir, même une seconde.
Elle a tout perdu pour moi.
Je ne sais pas si un homme serait capable de tout ça.
Hormis dans les films.
Elle a mis la barre tellement haut.
Elle m'a tellement aimée, Elle a eu tellement d'attentions envers moi.
Je sais d'avance que jamais je ne retrouverai ça.
Mais l'amour, on le choisit pas vraiment.
Il nous tombe dessus, comme ça.
Je ne sais pas à quoi ressemblerait le nirvana que je pourrais atteindre avec un homme.
Peut-être que ça serait différent, mais peut-être que ce serait aussi bien.
Mais il ne pourra jamais connaître aussi bien mes désirs qu'Elle le faisait.
Elle savait que si Elle me touchait là, je savais que si je La touchais là.
Elle savait qu'en me disant ces mots là.
Elle était capable de parcourir la ville et de courir après le temps pour me voir, même une seconde.
Elle a tout perdu pour moi.
Je ne sais pas si un homme serait capable de tout ça.
Hormis dans les films.
La passion
Vous êtes dans le domaine de la passion, Inconsciente et Coruscante.
Quand “la passion” vous habite, quelque chose brûle, se consume... Ce qu’elle veut la passion, c’est exploser, trouver le nirvana. Tout dépend ensuite et peu à peu, comment vous allez gérer cette état.
Personne ne peut vous donner des conseils, ni quoi que ce soit. Pour vous, votre éducation, c’est à dire ce qui a été mis dans votre coeur, va se révéler. Certes pour le meilleur ou pour le pire !
Il n ‘y a rien à dire : il reste la règle immuable (avec un peu de mystère) appartenant à l’être humain de faire les choix les meilleurs, les choix (comme on dit) qui lui donnent un avenir...
Quand “la passion” vous habite, quelque chose brûle, se consume... Ce qu’elle veut la passion, c’est exploser, trouver le nirvana. Tout dépend ensuite et peu à peu, comment vous allez gérer cette état.
Personne ne peut vous donner des conseils, ni quoi que ce soit. Pour vous, votre éducation, c’est à dire ce qui a été mis dans votre coeur, va se révéler. Certes pour le meilleur ou pour le pire !
Il n ‘y a rien à dire : il reste la règle immuable (avec un peu de mystère) appartenant à l’être humain de faire les choix les meilleurs, les choix (comme on dit) qui lui donnent un avenir...
Re: La passion
La passion ne peut faire que du mal.
Et sa fin n'est jamais heureuse.
Je sais que, pour Elle, c'était un mélange d'amour vraiment sincère (puisqu'il m'habite toujours), et de passion. Dévorante. Qui te brûle de l'intérieur.
Avec lui c'est autre chose et heureusement.
Et sa fin n'est jamais heureuse.
Je sais que, pour Elle, c'était un mélange d'amour vraiment sincère (puisqu'il m'habite toujours), et de passion. Dévorante. Qui te brûle de l'intérieur.
Avec lui c'est autre chose et heureusement.
Re: La passion
Moi qui t’écris, j’étais un passionné ! J’ai connu la passion, je l’ai traversée sans compromis, et je m’en suis sorti. Par quel miracle !
Mais quand on est dans la passion, on l’ignore ! On est inconscient(e).
Passe un examen : imagine que ton Prince soit muté dans 3 mois à Philadelphie. Ça veut dire que dans 3 mois il n’est plus là. Qu’est-ce tu fais ?
Mais quand on est dans la passion, on l’ignore ! On est inconscient(e).
Passe un examen : imagine que ton Prince soit muté dans 3 mois à Philadelphie. Ça veut dire que dans 3 mois il n’est plus là. Qu’est-ce tu fais ?
Re: La passion
Je finis mes études.
On verra après.
Je ne suis pas pressée, il n'a pas l'air de l'être non plus, et s'il doit se passer quelque chose entre nous, ça arrivera.
Où qu'il soit.
On verra après.
Je ne suis pas pressée, il n'a pas l'air de l'être non plus, et s'il doit se passer quelque chose entre nous, ça arrivera.
Où qu'il soit.
Re: La passion
Tu vas même faire une belle carrière en écrivant à tire l'arigot !
Ça n'a rien à voir : je me suis demandé quelle exposition ton père a-t-il visité à Paris...
Ça n'a rien à voir : je me suis demandé quelle exposition ton père a-t-il visité à Paris...
Re: La passion
C'était il y a plus de deux ans...
Je ne me souviens plus quelle était cette expo
Mais je me souviens qu'il avait croisé Alain Delon.
Je ne me souviens plus quelle était cette expo
Mais je me souviens qu'il avait croisé Alain Delon.
Elwinwea
Courage petit chaton, courage, le soleil se cache parfois derrière un nuage ou de l'autre côté de la Terre, mais il revient toujours pour nous redonner courage... Mais le soleil n'est pas le seul à nous rendre visite, notre bonne étoile à chacun nous survole aussi chaque nuit.
Rêve petit chaton, rêve petite étoile, rêve petit soleil et aime-Le de tout ton coeur, réchauffe-Le de ton amour...