Dans la chambre vide
J’ai l’impression que mon cœur est tout écrasé.
Je sens de grosses larmes qui menacent de couler, d’une minute à l’autre.
J’arrive à les retenir, parce que j’ai trop peur de pleurer et que je n’ai aucune envie de goûter à ce mauvais paradis des pleurs.
Oh je l’aime tellement. Je voudrais tant qu’il me réponde.
Même si c’était pour me dire de ne plus lui écrire, même si c’était un message méchant.
Je voudrais un signe de vie, je voudrais savoir s’il pense autant que moi à ce moment. À ce dernier samedi de 2007.
Ou bien si cet instant s’est déjà noyé dans sa mémoire trouée.
Je me dis que je voudrais moins penser à lui, et l’instant d’après je rêve de le voir, de lui parler. Je me dis que je préfère souffrir qu'oublier.
Tout à l’heure, Julien m’a dit qu’il l’avait vu vendredi et qu’ils avaient discuté ensemble pendant vingt minutes.
Il ne comprend pas à quel point ça me déchire le cœur.
Oh pense-t-il à moi ?
Est-ce qu’il s’inquiète ?
Est-ce qu’il se demande comment je vais ?
Est-ce qu’il regrette ? Est-ce que mon amour l’effraie à l’en dégoûter ?
Est-ce qu’enfoui sous un nuage de fumée, son cœur a encore des sentiments cachés quelque part ?
Lorsque nous sommes entrés dans le café avec Julien et E, nous avons tout de suite remarqué cette femme blonde aux sourcils si noirs.
Une prof d’espagnol remplaçante, que j’avais eue en 2nde lorsque Nad était en congé maternité.
Olga, un prénom qui ne s’oublie pas.
Elle m’avait laissé un merveilleux souvenir, c’était elle qui m’avait fait découvrir Frida Kahlo.
C’était aussi elle l’une de mes examinatrices de TPE.
Avec mon groupe, nous avions réalisé un petit court-métrage, qui mettait justement en scène Frida Kahlo. Elle avait été touchée. Je ne savais pas qu’elle ferait partie du jury, mais lorsque je l’ai su, j’ai compris que notre travail lui avait forcément plu. Car je savais que, comme moi, quelque chose la reliait à cette peintre mexicaine.
Peut-être juste de l’admiration. Mais peut-être autre chose.
J’adorais cette femme.
La revoir m’a envahie d’une grande joie. Je ne pouvais plus m’arrêter de sourire.
Elle est venue nous voir et nous a embrassés, chacun notre tour.
J’étais très émue.
J’ai toujours senti quelque chose de spécial se dégager d’elle.
Une sorte de fragilité mêlée à une dureté immense.
Elle m’a toujours beaucoup fascinée.
Sa vie au Mexique, son air mystérieux.
Ce regard d’un noir intense cachant une fenêtre brisée au fond de ses yeux.
Je me souviens qu’à chaque fois qu’elle partait, je me disais que je la perdais pour toujours. Et ça me désolait.
Et puis vite je me sentais rassurée.
Comme si le destin m’assurait que ce n’était pas la dernière fois que je la voyais.
Souvent on m’a dit que je confondais l’admiration et l’amour.
Ça les arrangeait de croire ça. Que j’étais « envoûtée », admirative.
Que j’étais trop jeune et trop idiote pour ne pas me rendre compte que je commettais la terrible erreur d’une confusion des sentiments.
Mais j’ai toujours été pertinemment persuadée du contraire.
Je sais tout à fait distinguer l’admiration de l’amour.
J’aime profondément le Prince. À en pleurer.
J’ai aimé et j’aime toujours Elle d’une certaine manière, certes mêlée d’admiration parce qu’on ne peut pas ne pas l’admirer, mais je l’aime avant tout.
Et ce n’est pas parce que je l’admirais que je me suis embarquée dans une pareille histoire d’amour.
Cependant, je sais que c’est une grande admiration qui me lie à cette prof que j’ai croisée. Et rien de plus.
Bien sûr je me suis attachée à elle, comme je m’attache si vite aux gens.
Bien sûr elle me rappelle de violents et beaux souvenirs de cette époque inoubliable.
Et j’aimerais beaucoup la connaître mieux, parce que c’est une femme très intéressante, qui a beaucoup de choses à raconter.
Son expérience est fascinante.
Je ne sais pas pourquoi je cherche toujours à décortiquer mes sentiments.
Certainement parce qu’on a essayé de me les transformer, de me faire avaler des mensonges sur moi-même. Sur mes propres émotions.
Alors maintenant je cherche la vérité. Mais je la cherche seule.
En m’auto-analysant.
Peut-être qu’un jour j’aurai besoin d’aide.
Mais pour l’instant ce dont j’ai besoin, c’est un récepteur de tout l’amour que j’ai à revendre.
Mais pas n’importe quel récepteur, c’est bien ça le problème.
Je cherche un fragile, un fou, qui m’embrasse au quinzième rendez-vous.
Je viens de rentrer au Havre.
C’était le dernier week-end que je passais dans cette maison.
J’y étais quand même depuis douze ans.
Ça fait tout drôle.
Ma chambre était tellement vide que lorsque je parlais, ça résonnait.
Je me souviens encore du jour où je suis entrée dans ma chambre.
Il y avait un papier peint immonde, bleu à grosses fleurs roses. Mais vraiment immonde.
Je portais une salopette.
Et j’avais mon doudou –une souris en peluche que j’appelais Lulu- dans les mains. Je lui présentais sa nouvelle maison.
Dans une semaine, je serai dans une nouvelle maison, toute pleine de cartons.
Et ce sera parti pour trois semaines de stage, plus une de vacances, donc bilan : quatre semaines sans ma Garfu, notre poisson rouge et le ciel havrais.
Ce fut un drôle de week-end, ponctué de nostalgie et de projets. De fatigue et de tristesse. D’étonnement et de joie.
Le déménagement moins une semaine. L’épuisement de la semaine précédente chevillée au corps. Le Prince qui ne répond pas. La rencontre hasardeuse d’Olga dans ce café. Et ce nouveau projet de film qui m’est apparu, comme une évidence, pendant que j’étendais le linge tout à l’heure.
Évidemment.
Je devais y penser inconsciemment. C’était une vérité que je savais, sans réussir à la formuler. Mais j’ai compris.
Je veux faire du cinéma parce que si je n’arrive pas à réaliser mes rêves dans la vie, je les réaliserai à l’écran.
Je sens de grosses larmes qui menacent de couler, d’une minute à l’autre.
J’arrive à les retenir, parce que j’ai trop peur de pleurer et que je n’ai aucune envie de goûter à ce mauvais paradis des pleurs.
Oh je l’aime tellement. Je voudrais tant qu’il me réponde.
Même si c’était pour me dire de ne plus lui écrire, même si c’était un message méchant.
Je voudrais un signe de vie, je voudrais savoir s’il pense autant que moi à ce moment. À ce dernier samedi de 2007.
Ou bien si cet instant s’est déjà noyé dans sa mémoire trouée.
Je me dis que je voudrais moins penser à lui, et l’instant d’après je rêve de le voir, de lui parler. Je me dis que je préfère souffrir qu'oublier.
Tout à l’heure, Julien m’a dit qu’il l’avait vu vendredi et qu’ils avaient discuté ensemble pendant vingt minutes.
Il ne comprend pas à quel point ça me déchire le cœur.
Oh pense-t-il à moi ?
Est-ce qu’il s’inquiète ?
Est-ce qu’il se demande comment je vais ?
Est-ce qu’il regrette ? Est-ce que mon amour l’effraie à l’en dégoûter ?
Est-ce qu’enfoui sous un nuage de fumée, son cœur a encore des sentiments cachés quelque part ?
Lorsque nous sommes entrés dans le café avec Julien et E, nous avons tout de suite remarqué cette femme blonde aux sourcils si noirs.
Une prof d’espagnol remplaçante, que j’avais eue en 2nde lorsque Nad était en congé maternité.
Olga, un prénom qui ne s’oublie pas.
Elle m’avait laissé un merveilleux souvenir, c’était elle qui m’avait fait découvrir Frida Kahlo.
C’était aussi elle l’une de mes examinatrices de TPE.
Avec mon groupe, nous avions réalisé un petit court-métrage, qui mettait justement en scène Frida Kahlo. Elle avait été touchée. Je ne savais pas qu’elle ferait partie du jury, mais lorsque je l’ai su, j’ai compris que notre travail lui avait forcément plu. Car je savais que, comme moi, quelque chose la reliait à cette peintre mexicaine.
Peut-être juste de l’admiration. Mais peut-être autre chose.
J’adorais cette femme.
La revoir m’a envahie d’une grande joie. Je ne pouvais plus m’arrêter de sourire.
Elle est venue nous voir et nous a embrassés, chacun notre tour.
J’étais très émue.
J’ai toujours senti quelque chose de spécial se dégager d’elle.
Une sorte de fragilité mêlée à une dureté immense.
Elle m’a toujours beaucoup fascinée.
Sa vie au Mexique, son air mystérieux.
Ce regard d’un noir intense cachant une fenêtre brisée au fond de ses yeux.
Je me souviens qu’à chaque fois qu’elle partait, je me disais que je la perdais pour toujours. Et ça me désolait.
Et puis vite je me sentais rassurée.
Comme si le destin m’assurait que ce n’était pas la dernière fois que je la voyais.
Souvent on m’a dit que je confondais l’admiration et l’amour.
Ça les arrangeait de croire ça. Que j’étais « envoûtée », admirative.
Que j’étais trop jeune et trop idiote pour ne pas me rendre compte que je commettais la terrible erreur d’une confusion des sentiments.
Mais j’ai toujours été pertinemment persuadée du contraire.
Je sais tout à fait distinguer l’admiration de l’amour.
J’aime profondément le Prince. À en pleurer.
J’ai aimé et j’aime toujours Elle d’une certaine manière, certes mêlée d’admiration parce qu’on ne peut pas ne pas l’admirer, mais je l’aime avant tout.
Et ce n’est pas parce que je l’admirais que je me suis embarquée dans une pareille histoire d’amour.
Cependant, je sais que c’est une grande admiration qui me lie à cette prof que j’ai croisée. Et rien de plus.
Bien sûr je me suis attachée à elle, comme je m’attache si vite aux gens.
Bien sûr elle me rappelle de violents et beaux souvenirs de cette époque inoubliable.
Et j’aimerais beaucoup la connaître mieux, parce que c’est une femme très intéressante, qui a beaucoup de choses à raconter.
Son expérience est fascinante.
Je ne sais pas pourquoi je cherche toujours à décortiquer mes sentiments.
Certainement parce qu’on a essayé de me les transformer, de me faire avaler des mensonges sur moi-même. Sur mes propres émotions.
Alors maintenant je cherche la vérité. Mais je la cherche seule.
En m’auto-analysant.
Peut-être qu’un jour j’aurai besoin d’aide.
Mais pour l’instant ce dont j’ai besoin, c’est un récepteur de tout l’amour que j’ai à revendre.
Mais pas n’importe quel récepteur, c’est bien ça le problème.
Je cherche un fragile, un fou, qui m’embrasse au quinzième rendez-vous.
Je viens de rentrer au Havre.
C’était le dernier week-end que je passais dans cette maison.
J’y étais quand même depuis douze ans.
Ça fait tout drôle.
Ma chambre était tellement vide que lorsque je parlais, ça résonnait.
Je me souviens encore du jour où je suis entrée dans ma chambre.
Il y avait un papier peint immonde, bleu à grosses fleurs roses. Mais vraiment immonde.
Je portais une salopette.
Et j’avais mon doudou –une souris en peluche que j’appelais Lulu- dans les mains. Je lui présentais sa nouvelle maison.
Dans une semaine, je serai dans une nouvelle maison, toute pleine de cartons.
Et ce sera parti pour trois semaines de stage, plus une de vacances, donc bilan : quatre semaines sans ma Garfu, notre poisson rouge et le ciel havrais.
Ce fut un drôle de week-end, ponctué de nostalgie et de projets. De fatigue et de tristesse. D’étonnement et de joie.
Le déménagement moins une semaine. L’épuisement de la semaine précédente chevillée au corps. Le Prince qui ne répond pas. La rencontre hasardeuse d’Olga dans ce café. Et ce nouveau projet de film qui m’est apparu, comme une évidence, pendant que j’étendais le linge tout à l’heure.
Évidemment.
Je devais y penser inconsciemment. C’était une vérité que je savais, sans réussir à la formuler. Mais j’ai compris.
Je veux faire du cinéma parce que si je n’arrive pas à réaliser mes rêves dans la vie, je les réaliserai à l’écran.
Ecrit par inconsciente, le Dimanche 20 Janvier 2008, 20:59 dans la rubrique Aujourd'hui.
Commentaires :
Re:
Je fais mon stage au magazine de la ville de Rouen.
À la mairie.
Je pense que ça va être sympa.
Les rapports avec les profs que je croise ne changent pas vraiment de ceux que j'avais avant.
Je les ai toujours tellement considérés comme mes égaux...
Leur ai toujours tellement prouvé mon affection, sans barrière.
Ce qui m'a parfois posé problème, mais n'en parlons pas, j'en parle assez comme ça.
À la mairie.
Je pense que ça va être sympa.
Les rapports avec les profs que je croise ne changent pas vraiment de ceux que j'avais avant.
Je les ai toujours tellement considérés comme mes égaux...
Leur ai toujours tellement prouvé mon affection, sans barrière.
Ce qui m'a parfois posé problème, mais n'en parlons pas, j'en parle assez comme ça.
"Je veux faire du cinéma parce que si je n’arrive pas à réaliser mes rêves dans la vie, je les réaliserai à l’écran."
Moteur. Action...
Très beau projet de faire du cinéma. Il y a autour de moi, dans ma famille, quelques uns qui en font... On ne peut qu'encourager la créativité.
Moteur. Action...
Très beau projet de faire du cinéma. Il y a autour de moi, dans ma famille, quelques uns qui en font... On ne peut qu'encourager la créativité.
Re:
Je suis bien d'accord !
Dans la famille de ma mère, il y a deux catégories (en fait trois car une troisième est née avec notre génération) : ceux qui font du cinéma, ceux qui font de l'équitation et ceux qui font de la musique.
Moi j'ai hérité de mon oncle cinéaste.
Et j'en suis fière.
Dans la famille de ma mère, il y a deux catégories (en fait trois car une troisième est née avec notre génération) : ceux qui font du cinéma, ceux qui font de l'équitation et ceux qui font de la musique.
Moi j'ai hérité de mon oncle cinéaste.
Et j'en suis fière.
Dans 37.2 le matin, Béatrice Dall dit à Zorg "Mais comment tu veux que j't'aime moi si j'peux pas t'admirer !"
=))
Désolée je reste pas, je suis balade et je dois réviser pour survivre aux partiels (fuck...), gros bisous !
Comme toujours, tu écris tant de choses diverses (que je sens pourtant reliées intimement entre elles mais par quoi je ne saurais dire) que je sais déjà que je ne pourrai pas tout commenter...
Le début de ton article m'a replongé dans un passé récent, un passé de larmes auquel je n'avais plus pensé depuis longtemps il me semble, et pourtant ça fait moins de deux mois...
Moi aussi, j'ai tenté ce que je considérais comme le tout pour le tout, ce qui l'était à vrai dire, dans la situation étrange où je me trouvais... silence radio, et puis mon ange m'est tombé dessus depuis le ciel où il m'observait et je n'y ai plus pensé jusqu'à récemment...
Je ne te dirai pas de ne pas attendre, de passer à autre chose, car je sais comme c'est énervant pour être passé non pas par la même chose, mais par des épreuves similaires. Les autres ne comprennent pas qu'ils nous font souffrir en nous rappelant l'absent, mais ils ne savent pas, ils ne peuvent pas savoir et sans doute est-ce mieux ainsi...
Ces mêmes autres, qui te disent que tu ne différencies pas admiration et amour, ne les différencient peut-être pas eux-mêmes, ils veulent te protéger, mais ce sont toujours ceux qui veulent le moins de protection qui sont le plus ennuyés par leurs protecteurs... ou peut-être pas...
Je suis juste persuadée qu'une étoile brille au-dessus de ta tête, qu'il fasse jour, nuit, qu'il vente, qu'il pleuve, elle continue de briller et elle ne te laissera pas tomber, tu as le droit d'être heureuse et tu le seras, j'en suis sûre...
Le début de ton article m'a replongé dans un passé récent, un passé de larmes auquel je n'avais plus pensé depuis longtemps il me semble, et pourtant ça fait moins de deux mois...
Moi aussi, j'ai tenté ce que je considérais comme le tout pour le tout, ce qui l'était à vrai dire, dans la situation étrange où je me trouvais... silence radio, et puis mon ange m'est tombé dessus depuis le ciel où il m'observait et je n'y ai plus pensé jusqu'à récemment...
Je ne te dirai pas de ne pas attendre, de passer à autre chose, car je sais comme c'est énervant pour être passé non pas par la même chose, mais par des épreuves similaires. Les autres ne comprennent pas qu'ils nous font souffrir en nous rappelant l'absent, mais ils ne savent pas, ils ne peuvent pas savoir et sans doute est-ce mieux ainsi...
Ces mêmes autres, qui te disent que tu ne différencies pas admiration et amour, ne les différencient peut-être pas eux-mêmes, ils veulent te protéger, mais ce sont toujours ceux qui veulent le moins de protection qui sont le plus ennuyés par leurs protecteurs... ou peut-être pas...
Je suis juste persuadée qu'une étoile brille au-dessus de ta tête, qu'il fasse jour, nuit, qu'il vente, qu'il pleuve, elle continue de briller et elle ne te laissera pas tomber, tu as le droit d'être heureuse et tu le seras, j'en suis sûre...
Re:
Ça fait plaisir de savoir cette étoile au-dessus de moi.
Je me laisse un peu porter au niveau de mes sentiments.
Je n'ai pas de pouvoirs magiques comme toi, je n'ai pas de chevalier avec ou sans visage.
Mais pour l'instant je laisse le Prince dans mon coeur, cela me plaît de l'aimer, même s'il me manque beaucoup.
Je tente de centrer ma vie actuelle sur autre chose que sur lui.
Merci pour tout en tout cas...
M'encourager c'est énorme.
Je me laisse un peu porter au niveau de mes sentiments.
Je n'ai pas de pouvoirs magiques comme toi, je n'ai pas de chevalier avec ou sans visage.
Mais pour l'instant je laisse le Prince dans mon coeur, cela me plaît de l'aimer, même s'il me manque beaucoup.
Je tente de centrer ma vie actuelle sur autre chose que sur lui.
Merci pour tout en tout cas...
M'encourager c'est énorme.
^^
"un fragile, un fou, qui m’embrasse au quinzième rendez-vous." ----> fan de Francis Cabrel ? Ou simple coïncidence ? ^^
Bon, je suis tombée sur ton joueb un peu par hasard, mais je me retrouve un peu en toi, niveau "décortiquer ses sentiments".. je passe mon temps à me torturer de la sorte moi aussi.
Au plaisir ! Bonne continuation !
Bon, je suis tombée sur ton joueb un peu par hasard, mais je me retrouve un peu en toi, niveau "décortiquer ses sentiments".. je passe mon temps à me torturer de la sorte moi aussi.
Au plaisir ! Bonne continuation !
Re: ^^
Pas forcément fan, mais quand on s'appelle Marie, on est forcément un peu touchée par ce chanteur.
Quant à cette phrase, je m'y reconnais beaucoup ;)
Merci pour cet adorable commentaire, et à très bientôt alors :)
Quant à cette phrase, je m'y reconnais beaucoup ;)
Merci pour cet adorable commentaire, et à très bientôt alors :)
ecilora
Tu fais ton stage où?
Cà me fait sourire ton croisement avec une de tes anciennes profs. j'ai croisé ma maîtresse de cp, il n'y a pas longtemps. Et si moi, je l'ai reconnu vite, elle, ça n'a pas été le cas! ^^ C'est amusant les rapports que l'on a, une fois partie de l'école.
BzOo