Une nouvelle vie
--> Mercredi 16/05/07
Arrêter de l'aimer me ferait mal.
Cela serait douloureux.
Cela serait une déchirure.
Je me sentirais vide. Grise. Terne.
Ce serait comme une disparition. Un deuil à faire.
Faire le deuil d'une histoire d'amour qui n'aurait même pas eu lieu.
Si personne d'autre que moi ne comprend alors ce n'est pas grave, l'essentiel est que moi déjà je me comprenne.
Quand je pense à son sourire, je me dis que ce serait difficile de ne pas m'en priver.
Je pourrais très bien le prendre, l'enfermer à clé quelque part en moi, et le conserver ainsi toute ma vie comme une petite flamme.
Mais je ne suis pas sûre que cela soit de cela dont j'ai envie.
J'ai plein de choses à vivre.
J'ai la vie devant moi.
Et j'ai la conviction que j'ai les moyens de le rendre heureux.
Les moyens humains.
La conviction que si je lui sortais le grand jeu, c'est-à-dire tout ce que j'ai de plus beau dans le coeur, je serais capable de le rendre heureux.
Vraiment heureux.
Et de l'aimer comme personne ne l'a jamais aimé.
Vendredi dernier il m'a présenté à ses enfants.
Rien d'officiel puisque de toutes façons cet amour ne va que dans un sens (de moi à lui comme vous l'aurez compris).
Mais il s'est approché de moi, il a posé sa main sur mon épaule gauche et il a dit " les enfants je vous présente celle* dont je vous ai tant parlé ".
Il pleuvait des cordes. Il est entré avec eux.
Ses cheveux, ou plutôt ce qu'il en reste, étaient tout collés par la pluie.
Quand on est amoureux on se fait tout un tas de films.
Et c'est pas désagréable.
Mes confidentes m'ont dit qu'elles ne trouvaient pas ses enfants très beaux.
Et elles ont ajouté que j'en ferai des mieux.
On verra...
C'est le début d'une nouvelle vie.
Je crois.
* Il a dit mon prénom
Cela serait douloureux.
Cela serait une déchirure.
Je me sentirais vide. Grise. Terne.
Ce serait comme une disparition. Un deuil à faire.
Faire le deuil d'une histoire d'amour qui n'aurait même pas eu lieu.
Si personne d'autre que moi ne comprend alors ce n'est pas grave, l'essentiel est que moi déjà je me comprenne.
Quand je pense à son sourire, je me dis que ce serait difficile de ne pas m'en priver.
Je pourrais très bien le prendre, l'enfermer à clé quelque part en moi, et le conserver ainsi toute ma vie comme une petite flamme.
Mais je ne suis pas sûre que cela soit de cela dont j'ai envie.
J'ai plein de choses à vivre.
J'ai la vie devant moi.
Et j'ai la conviction que j'ai les moyens de le rendre heureux.
Les moyens humains.
La conviction que si je lui sortais le grand jeu, c'est-à-dire tout ce que j'ai de plus beau dans le coeur, je serais capable de le rendre heureux.
Vraiment heureux.
Et de l'aimer comme personne ne l'a jamais aimé.
Vendredi dernier il m'a présenté à ses enfants.
Rien d'officiel puisque de toutes façons cet amour ne va que dans un sens (de moi à lui comme vous l'aurez compris).
Mais il s'est approché de moi, il a posé sa main sur mon épaule gauche et il a dit " les enfants je vous présente celle* dont je vous ai tant parlé ".
Il pleuvait des cordes. Il est entré avec eux.
Ses cheveux, ou plutôt ce qu'il en reste, étaient tout collés par la pluie.
Quand on est amoureux on se fait tout un tas de films.
Et c'est pas désagréable.
Mes confidentes m'ont dit qu'elles ne trouvaient pas ses enfants très beaux.
Et elles ont ajouté que j'en ferai des mieux.
On verra...
C'est le début d'une nouvelle vie.
Je crois.
* Il a dit mon prénom
Ecrit par inconsciente, le Lundi 4 Juin 2007, 16:17 dans la rubrique Avant de partir.