Dans mon coeur sans remparts
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Je pars en vacances demain matin.
Saint-Malo. Pour ceux qui me connaissent, ils sauront que cette destination n’est pas très originale puisque même in utero je me baladais déjà sur les remparts de cette cité corsaire.
Mais c’est une affaire de sang. D’histoire.
Si mon père ne m’a pas beaucoup transmis d’amour ni d’affection (les deux seules fois où j’ai vu qu’il m’aimait c’était une fois sur une cassette vidéo où je n’avais même pas un an et qu’il me fait faire le tobbogan sur ses genoux, allongé sur le canapé et qu’il dit « dans mes bras ! dans mes bras mon amour ! » et la seconde c’était cet horrible soir du 13 février 2005, je le détestais comme je n’ai jamais détesté personne, et en sortant de la voiture, je me suis écroulée par terre dans la boue, et il s’est mis à pleurer en me serrant dans ses bras, et je l’ai serré aussi dans mes bras. J’étais horriblement perdue) il m’a transmis l’amour de la mer et en particulier de cette ville entourée de remparts.
Ce qui fait que si par hasard, nous n’y allons pas durant un été, on n’a pas l’impression que les vacances ont vraiment été des vacances.
En fait je déteste les vacances.
Une fois que je suis là-bas je suis contente, même s’il continue à nous pourrir la vie, à prendre tout du mauvais côté, toujours, tout le temps, même s’il est dans sa ville et qu’il est sensé s’épanouir.
Tout est toujours un problème.
Alors bien sûr j’ai hâte d’y être. De retrouver les rues pavées bardées d’italiens, d’espagnols, d’anglais, de déguster ma glace préférée en regardant les vitrines qui ont illuminé mon enfance, de grimper aux rochers, de me baigner dans cette eau qui me comprend si bien.
J’ai besoin de ça.
Maintenant j’associe également cette ville à Elle.
Parce qu’elle m’y a retrouvée un été et que c’est là que tout a commencé à basculer entre nous.
J’ai besoin de ça mais ce départ tombe mal.
Mon prince se retrouve enfin tout seul, et moi je m’en vais.
On va sûrement se revoir à mon retour, il l’a dit, et je l’espère, mais je ne peux m’empêcher d’avoir peur de l’été.
Est-il comme Elle ? Faut-il le réapprivoiser à chaque retour ?
Tout ça pour dire que je vais être bien sur la plage, mais qu’encore une fois, je vais être horriblement seule.
Coincée entre mes deux parents.
Je vais lire.
Mais déjà je n’en ai pas le goût.
Pas l’envie.
Je suis déjà découragée.
Je ne suis pas douée pour me faire des amis.
Les gens de mon âge ne m’aiment pas.
Je suis trop différente. Trop sérieuse. Trop envahie par des préoccupations trop éloignées des leurs.
Ici sur joueb je me sens bien car la plupart des lecteurs n’ont pas l’idée de vous juger, de juger vos mots, ils donnent leurs impressions, leurs conseils, racontent un petit bout de vie à eux, mais rares sont les personnes qui veulent faire du mal.
Je me sens bien ici car vous me connaissez tous mieux que n’importe qui. Vous suivez ma vie au jour le jour, vous êtes tenus au courant de toutes mes sautes d’humeur, vous n’avez pas besoin de demander, vous savez ce qui me chagrine et ce qui me fait sourire.
Vous avez entre vos doigts le mode d’emploi du fonctionnement de mon cerveau. Et de mon cœur.
Vous connaissez mes doutes et mes convictions.
Je voudrais passer mes vacances avec vous, au soleil.
Vous qui pourriez passer pour des inconnus mais qui êtes mes frères et sœurs de plumes.
Vous êtes mes vrais amis. Avec vous pas de disputes idiotes.
C’est ce qui me plait chez Garfu. Elle est ma lectrice mais appartient à mon quotidien réel.
Cela fait bien longtemps que nous nous sommes vraiment vues, que nous avons vraiment parlé ensemble.
Je dois dire que cela me manque et que je voudrais bien avoir au moins une fois dans ma vie une relation normale d’amitié avec quelqu’un. Mais à chaque fois, dans ma vie, rien n’est normal.
Mais en fait je crois que je n’en suis pas malheureuse pour autant.
Nous allons vivre ensemble, pendant au moins deux ans.
Pour l’instant cela fait partie d’un domaine surréaliste, mais qui va bientôt devenir réel.
Et c’est bien.
J’ai hâte.
J’ai peur aussi. Pas de notre vie à toutes les deux mais de la rentrée à l’IUT. Je sais que ce sera une affaire de quelques jours, et d’habitude. Que ces inconnus ne seront pas méchants.
Mais à mon retour de Saint-Malo, tout va changer.
Tout va se précipiter.
Revoir le Prince. Conclure, ou pas. Mais surtout surtout garder un contact muy muy renforcé. Je veux qu’il reste mon quotidien.
Même si une heure de train nous sépare. (D’ailleurs, une heure de train, c’est rien !)
M’installer là-bas, au numéro 38.
Prendre mes repères.
Revoir maman.
Partir.
Et revenir. Pour lui. Pour maman. Pour ma sœur aussi.
Nous sommes allés faire l’état des lieux de l’appartement avec Garfu, son père et mon père.
J’adore le père de Garfu. Il est tout le temps en train de blaguer mais il est surtout très gentil.
J’aime bien son regard bienveillant et généreux.
Et puis ce que j’aime surtout c’est que par rapport à mes parents, il positive pour plein de choses, il a toujours un mot pour détendre l’atmosphère. Il ne dramatise pas.
C’était un vrai bonheur de revoir l’appartement.
Avec Garfu on s’est mis à refaire le monde, à rêver, dans chaque pièce, devant chaque détail, détails qui deviendront bientôt nos petits clins d’œil quotidiens…
J’ai mitraillé toutes les pièces.
Dès que je remue un peu, j’entends les clés qui tintent dans ma poche gauche.
Elles me plaisent ces clés.
Garfu a dit quelque chose qui m’a beaucoup touché dans la voiture, pendant le voyage du retour.
Bien sûr ton prince sera le bienvenu chez nous…
C’était tout simple.
Mais cela montrait que, d’abord, elle croit en notre histoire, et ensuite qu’elle est prête à tout pour que je sois heureuse.
C’est une vraie amie.
Et finalement c’est très rare, enfin du moins dans ma vie à moi.
D’ailleurs on a parlé de ça dans la voiture.
Et puis de plein d’autres choses.
Elle m’a dit que l’autre jour, lorsque ma mère était allée chez eux pour signer le bail, elle leur avait tout raconté sur mon histoire avec Elle.
Cela m’a retournée.
C’est bête, mais je ne comprends pas qu’est-ce qui la pousse à raconter ça à tout le monde.
Se faire plaindre.
Ou bien dire du mal d’Elle.
Cela doit lui faire du bien de cracher son venin.
Garfu m’a dit qu’ensuite elle avait donné sa version à ses parents et qu’ils avaient mieux compris.
Elle m’a aussi dit que sa mère avait réalisé à quel point j’avais dû être malheureuse.
Ce n’est pas que j’aime me faire plaindre, mais cela m’a touché.
Parce que j’aime bien ses parents, et que bien sûr, j’aurais préféré que ce soit Garfu qui leur apprenne en premier mon histoire avec SA version (c’est-à-dire la mienne) plutôt que ce soit ma mère avec sa version tellement cruelle et dramatique.
Savoir cela me rend encore plus en colère contre eux.
Et je sens la haine me monter aux mains et aux joues.
Mais je respire un grand coup et elle redescend.
Elle se dégonfle comme un ballon.
Je n’aime pas avoir de la haine en moi, mais je ne sais pas non plus comment la faire sortir une bonne fois pour toutes.
À part en écrivant.
Et puis un jour il faudra bien que j’en parle avec eux. Que je leur dise que je vais les pardonner mais que j’aurai beaucoup de mal. Et que surtout je n’accepterai jamais ce qu’ils Lui ont fait subir.
En revenant et après avoir reconduit Garfu et son père (appelons-le Éric car père est un mot que je n’aime pas, je préfère papa mais je n’aime pas non plus le prononcer, et puis parce qu’Éric est un nom que j’aime bien) après avoir reconduit Garfu et Éric chez eux, nous sommes allés faire le plein pour le départ de demain.
Et comme une madeleine de Proust polluante, l’odeur de l’essence m’a fait remonter quelques souvenirs, éparpillés mais que j’aime beaucoup.
L’odeur de l’essence. La station service. La balle rebondissante. Le chewing-gum collé sur les joues de mon cousin et sur les miennes.
Le soleil qui se couchait et qui éblouissait ma grand-mère dans la voiture. La sensation bizarre que j’ai eu lorsque mon cousin a dit qu’un jour le soleil exploserait et qu’on mourrait tous. Et que pour la première fois, j’ai senti que j’étais aussi un corps, une enveloppe.
Je vous souhaite de passer de bonnes vacances mes jouebbeurs adorés.
Vous allez beaucoup beaucoup me manquer.
J’emmène mon petit MacBook d’amour mais je ne pense pas que Dieu enverra la Wi-Fi dans l’appartement qu’ils ont loué.
À très bientôt !
Saint-Malo. Pour ceux qui me connaissent, ils sauront que cette destination n’est pas très originale puisque même in utero je me baladais déjà sur les remparts de cette cité corsaire.
Mais c’est une affaire de sang. D’histoire.
Si mon père ne m’a pas beaucoup transmis d’amour ni d’affection (les deux seules fois où j’ai vu qu’il m’aimait c’était une fois sur une cassette vidéo où je n’avais même pas un an et qu’il me fait faire le tobbogan sur ses genoux, allongé sur le canapé et qu’il dit « dans mes bras ! dans mes bras mon amour ! » et la seconde c’était cet horrible soir du 13 février 2005, je le détestais comme je n’ai jamais détesté personne, et en sortant de la voiture, je me suis écroulée par terre dans la boue, et il s’est mis à pleurer en me serrant dans ses bras, et je l’ai serré aussi dans mes bras. J’étais horriblement perdue) il m’a transmis l’amour de la mer et en particulier de cette ville entourée de remparts.
Ce qui fait que si par hasard, nous n’y allons pas durant un été, on n’a pas l’impression que les vacances ont vraiment été des vacances.
En fait je déteste les vacances.
Une fois que je suis là-bas je suis contente, même s’il continue à nous pourrir la vie, à prendre tout du mauvais côté, toujours, tout le temps, même s’il est dans sa ville et qu’il est sensé s’épanouir.
Tout est toujours un problème.
Alors bien sûr j’ai hâte d’y être. De retrouver les rues pavées bardées d’italiens, d’espagnols, d’anglais, de déguster ma glace préférée en regardant les vitrines qui ont illuminé mon enfance, de grimper aux rochers, de me baigner dans cette eau qui me comprend si bien.
J’ai besoin de ça.
Maintenant j’associe également cette ville à Elle.
Parce qu’elle m’y a retrouvée un été et que c’est là que tout a commencé à basculer entre nous.
J’ai besoin de ça mais ce départ tombe mal.
Mon prince se retrouve enfin tout seul, et moi je m’en vais.
On va sûrement se revoir à mon retour, il l’a dit, et je l’espère, mais je ne peux m’empêcher d’avoir peur de l’été.
Est-il comme Elle ? Faut-il le réapprivoiser à chaque retour ?
Tout ça pour dire que je vais être bien sur la plage, mais qu’encore une fois, je vais être horriblement seule.
Coincée entre mes deux parents.
Je vais lire.
Mais déjà je n’en ai pas le goût.
Pas l’envie.
Je suis déjà découragée.
Je ne suis pas douée pour me faire des amis.
Les gens de mon âge ne m’aiment pas.
Je suis trop différente. Trop sérieuse. Trop envahie par des préoccupations trop éloignées des leurs.
Ici sur joueb je me sens bien car la plupart des lecteurs n’ont pas l’idée de vous juger, de juger vos mots, ils donnent leurs impressions, leurs conseils, racontent un petit bout de vie à eux, mais rares sont les personnes qui veulent faire du mal.
Je me sens bien ici car vous me connaissez tous mieux que n’importe qui. Vous suivez ma vie au jour le jour, vous êtes tenus au courant de toutes mes sautes d’humeur, vous n’avez pas besoin de demander, vous savez ce qui me chagrine et ce qui me fait sourire.
Vous avez entre vos doigts le mode d’emploi du fonctionnement de mon cerveau. Et de mon cœur.
Vous connaissez mes doutes et mes convictions.
Je voudrais passer mes vacances avec vous, au soleil.
Vous qui pourriez passer pour des inconnus mais qui êtes mes frères et sœurs de plumes.
Vous êtes mes vrais amis. Avec vous pas de disputes idiotes.
C’est ce qui me plait chez Garfu. Elle est ma lectrice mais appartient à mon quotidien réel.
Cela fait bien longtemps que nous nous sommes vraiment vues, que nous avons vraiment parlé ensemble.
Je dois dire que cela me manque et que je voudrais bien avoir au moins une fois dans ma vie une relation normale d’amitié avec quelqu’un. Mais à chaque fois, dans ma vie, rien n’est normal.
Mais en fait je crois que je n’en suis pas malheureuse pour autant.
Nous allons vivre ensemble, pendant au moins deux ans.
Pour l’instant cela fait partie d’un domaine surréaliste, mais qui va bientôt devenir réel.
Et c’est bien.
J’ai hâte.
J’ai peur aussi. Pas de notre vie à toutes les deux mais de la rentrée à l’IUT. Je sais que ce sera une affaire de quelques jours, et d’habitude. Que ces inconnus ne seront pas méchants.
Mais à mon retour de Saint-Malo, tout va changer.
Tout va se précipiter.
Revoir le Prince. Conclure, ou pas. Mais surtout surtout garder un contact muy muy renforcé. Je veux qu’il reste mon quotidien.
Même si une heure de train nous sépare. (D’ailleurs, une heure de train, c’est rien !)
M’installer là-bas, au numéro 38.
Prendre mes repères.
Revoir maman.
Partir.
Et revenir. Pour lui. Pour maman. Pour ma sœur aussi.
Nous sommes allés faire l’état des lieux de l’appartement avec Garfu, son père et mon père.
J’adore le père de Garfu. Il est tout le temps en train de blaguer mais il est surtout très gentil.
J’aime bien son regard bienveillant et généreux.
Et puis ce que j’aime surtout c’est que par rapport à mes parents, il positive pour plein de choses, il a toujours un mot pour détendre l’atmosphère. Il ne dramatise pas.
C’était un vrai bonheur de revoir l’appartement.
Avec Garfu on s’est mis à refaire le monde, à rêver, dans chaque pièce, devant chaque détail, détails qui deviendront bientôt nos petits clins d’œil quotidiens…
J’ai mitraillé toutes les pièces.
Dès que je remue un peu, j’entends les clés qui tintent dans ma poche gauche.
Elles me plaisent ces clés.
Garfu a dit quelque chose qui m’a beaucoup touché dans la voiture, pendant le voyage du retour.
Bien sûr ton prince sera le bienvenu chez nous…
C’était tout simple.
Mais cela montrait que, d’abord, elle croit en notre histoire, et ensuite qu’elle est prête à tout pour que je sois heureuse.
C’est une vraie amie.
Et finalement c’est très rare, enfin du moins dans ma vie à moi.
D’ailleurs on a parlé de ça dans la voiture.
Et puis de plein d’autres choses.
Elle m’a dit que l’autre jour, lorsque ma mère était allée chez eux pour signer le bail, elle leur avait tout raconté sur mon histoire avec Elle.
Cela m’a retournée.
C’est bête, mais je ne comprends pas qu’est-ce qui la pousse à raconter ça à tout le monde.
Se faire plaindre.
Ou bien dire du mal d’Elle.
Cela doit lui faire du bien de cracher son venin.
Garfu m’a dit qu’ensuite elle avait donné sa version à ses parents et qu’ils avaient mieux compris.
Elle m’a aussi dit que sa mère avait réalisé à quel point j’avais dû être malheureuse.
Ce n’est pas que j’aime me faire plaindre, mais cela m’a touché.
Parce que j’aime bien ses parents, et que bien sûr, j’aurais préféré que ce soit Garfu qui leur apprenne en premier mon histoire avec SA version (c’est-à-dire la mienne) plutôt que ce soit ma mère avec sa version tellement cruelle et dramatique.
Savoir cela me rend encore plus en colère contre eux.
Et je sens la haine me monter aux mains et aux joues.
Mais je respire un grand coup et elle redescend.
Elle se dégonfle comme un ballon.
Je n’aime pas avoir de la haine en moi, mais je ne sais pas non plus comment la faire sortir une bonne fois pour toutes.
À part en écrivant.
Et puis un jour il faudra bien que j’en parle avec eux. Que je leur dise que je vais les pardonner mais que j’aurai beaucoup de mal. Et que surtout je n’accepterai jamais ce qu’ils Lui ont fait subir.
En revenant et après avoir reconduit Garfu et son père (appelons-le Éric car père est un mot que je n’aime pas, je préfère papa mais je n’aime pas non plus le prononcer, et puis parce qu’Éric est un nom que j’aime bien) après avoir reconduit Garfu et Éric chez eux, nous sommes allés faire le plein pour le départ de demain.
Et comme une madeleine de Proust polluante, l’odeur de l’essence m’a fait remonter quelques souvenirs, éparpillés mais que j’aime beaucoup.
L’odeur de l’essence. La station service. La balle rebondissante. Le chewing-gum collé sur les joues de mon cousin et sur les miennes.
Le soleil qui se couchait et qui éblouissait ma grand-mère dans la voiture. La sensation bizarre que j’ai eu lorsque mon cousin a dit qu’un jour le soleil exploserait et qu’on mourrait tous. Et que pour la première fois, j’ai senti que j’étais aussi un corps, une enveloppe.
Je vous souhaite de passer de bonnes vacances mes jouebbeurs adorés.
Vous allez beaucoup beaucoup me manquer.
J’emmène mon petit MacBook d’amour mais je ne pense pas que Dieu enverra la Wi-Fi dans l’appartement qu’ils ont loué.
À très bientôt !
Ecrit par inconsciente, le Vendredi 27 Juillet 2007, 21:19 dans la rubrique Aujourd'hui.
Commentaires :
Re:
merciiii
bah je ne sais pas si j'vais réussir à pirater
j'essayerai !
mais je ne suis franchement pas sûre !
bisous à toi aussi !!
bah je ne sais pas si j'vais réussir à pirater
j'essayerai !
mais je ne suis franchement pas sûre !
bisous à toi aussi !!
Re:
Bonnes vacances jolie demoiselle.
Et merci. J'avais déjà eu un sourire à la vue de tes liens. Et du titre. Mais là... il est encore plus grand. Votre chez vous a l'air très sympathique!! Et j'aime le bleu de la chambre d'enfant. C'est le bleu du ciel sans aucun nuage. c'est le bleu de la mer calme. C'est une petite touche qui rappelle que demain, ça ira mieux ou encore mieux.
Et pour le wifi... Peut-être qui sait?
Moi, je ferais le contraire. Je crois que je vais essayer de vivre sans ordinateur pendant une semaine. Essayer, je dis bien parce que bon...
Je ne connais pas St-Malo. Mais les cités entourées de remparts ont un charme tout particulier... Elles protègent leur coeur, leur histoire. Tout ça... Mais un coeur sans remparts... je suis admirative. Les miens savent se dresser haut lorsqu'il le faut. Et même lorsqu'il ne faut pas.
Douces vacances.
BzOo
Et merci. J'avais déjà eu un sourire à la vue de tes liens. Et du titre. Mais là... il est encore plus grand. Votre chez vous a l'air très sympathique!! Et j'aime le bleu de la chambre d'enfant. C'est le bleu du ciel sans aucun nuage. c'est le bleu de la mer calme. C'est une petite touche qui rappelle que demain, ça ira mieux ou encore mieux.
Et pour le wifi... Peut-être qui sait?
Moi, je ferais le contraire. Je crois que je vais essayer de vivre sans ordinateur pendant une semaine. Essayer, je dis bien parce que bon...
Je ne connais pas St-Malo. Mais les cités entourées de remparts ont un charme tout particulier... Elles protègent leur coeur, leur histoire. Tout ça... Mais un coeur sans remparts... je suis admirative. Les miens savent se dresser haut lorsqu'il le faut. Et même lorsqu'il ne faut pas.
Douces vacances.
BzOo
Re:
C'est aussi le bleu de la couleur des feutres avec lesquels on dessine le ciel quand on est petit
pour moi il n'y avait qu'un bleu, c'était le bleu du ciel, le bleu pur profond doux immense incroyable insaisissable et transcendant.
merci d'être venue encore une fois chez moi
et c'est un bonheur pour moi de partager ces photos avec vous tous
et avec toi en particulier !
:)
pour moi il n'y avait qu'un bleu, c'était le bleu du ciel, le bleu pur profond doux immense incroyable insaisissable et transcendant.
merci d'être venue encore une fois chez moi
et c'est un bonheur pour moi de partager ces photos avec vous tous
et avec toi en particulier !
:)
Les points communs, je ne les compte plus...
Ce serait bien trop long de tout citer. Disons que tout qui est propre à ta "vie de jouebeuse", je le ressent aussi. Le fait de ne pas forcément m'entendre avec les gens de mon âge, de ne pas sembler avoir les mêmes priorités. Bien que le plus ironique soit que je crois qu'on ale même âge. =D
Cet article m'émeut tant il a l'air de parler de moi.
Passe d'exellentes vacances. Je rêve de plage, tandis que l'espoir d'y aller pour moi s'éteint.
Gros bisous.
Re:
j'aime les points communs
on se sent moins seul
tu habites où ? (si ça ne te dérange pas)
dans notre futur chez nous à garfu et à moi, il y a la mer pas loin !
bon, pas le sable fin, c'est plutôt des galets mais c'est la mer quand même...
:)
on se sent moins seul
tu habites où ? (si ça ne te dérange pas)
dans notre futur chez nous à garfu et à moi, il y a la mer pas loin !
bon, pas le sable fin, c'est plutôt des galets mais c'est la mer quand même...
:)
Re:
J'adore les plages avec des galets. L'eau froide et la brise marine... (j'ai l'impression de parler de mon désodorisant pour les toilettes =/)
J'habite dans l'Oise, en Picardie.
Re:
:D
Si un jour l'envie de passer voir la plage du Havre te prend, ce sera un plaisir pour moi de te rencontrer !
:) :)
Si un jour l'envie de passer voir la plage du Havre te prend, ce sera un plaisir pour moi de te rencontrer !
:) :)
aphone
Pas moyen de pirater un wifi là où tu seras ??
=)
Gros bisous !